Le Blog des poilus et Feldgrau

Le style architectural allemand ne convient pas à tous les Alsaciens pendant la période d'annexion de 1870 à 1918; Hansi ne manque pas de se moquer gentiment de ce bâtiment avec son humour habituel.

Les Alsaciens sont toujours restés fidèles à la France et certains ne s'en cachaient pas au risque de se voir condamnés.

"Mon régiment" décrit par Hansi avec sa verve habituelle.

Jean Jacques Walt était pour les allemands un traître. Il les détestait, les méprisait et ne se gênait pas de le montrer par ses dessins.

Le vocabulaire boche en 1915 : les mots commençant par la lettre K...

Non seulement les Allemands suppriment la boucle du ceinturon des pompiers, mais ils remplacent aussi le casque par leur calot...

Paul-Albert Helmer, avocat à Colmar, réfute certaines allégations de militaires français selon lesquelles des Alsaciens auraient tiré sur leurs troupes.

Mes adieux au 63ème...air bien français joué par une musique municipale alsacienne au nez et à la barbe des occupants allemands.

Dans la nuit du 21 au 22 mars, deux Zeppelins ont largué une vingtaine de bombes sur Paris; quelques personnes ont été blessées.

En 1915, les conseils de guerre allemands infligèrent de très sévères peines aux Alsaciens qui affichaient à la fois leur sympathie pour la France et leur germanophobie.

Les tribunaux d'Alsace continuent à distribuer les condamnations. C'est par centaines qu'il faut maintenant évaluer nombre des malheureux annexés qui languissent dans les forteresses et les prisons allemandes pour avoir prononcé quelques paroles imprudentes.

Les journaux médicaux d'outre-Rhin nous apprennent que les troupes allemandes souffrent très vivement d'une maladie nouvelle à laquelle leurs bactériologues ont donné un nom qui, fait étrange, peut se prononcer : la salmonellose.