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      Le Kriegs-Berichte

      • Les caricatures du Journal Kriegs Berichte
      • Du 14 mars au 25 juillet 1915
      • Du 1er août au 29 décembre 1915
      • Du 1 er janvier au 30 juillet 1916
      • Du 16 août au 31 décembre 1916
      • Du 1er juillet au 2 décembre 1917
      Edition du 14 mars 1915 - Ils déménagent. "Üssa met dam mecsht !" (Dehors avec ce fumier !)
      Edition du 28 mars 1915 - L'Alsace française !
      Edition du 4 avril 1915 - L'impérial semeur.
      Edition du 13 avril 1915 - Anniversaire de Bismarck. -Piefke : "C'était un génie, que notre Bismarck !" -Bumske : "Oui, un génie, surtout parce qu'il eu le bon goût de vivre il y a 45 ans !"
      Edition du 18 avril 1915 - Panem et circenses ! In schweren Zeiten rief das Volk in alter Rom ! Panem et circenses - du pain et des jeux ! (En ces temps-là, c'est ce que le peuple criait à Rome : du pain et des jeux ! ) Aujourd'hui, le peuple allemand crie "Du pain et de la bière !"
      Edition du 25 avril 1915 - Toujours prudent - Que pensez-vous de nos succès, mon ami ? - Si je vous le disais, vous me fusilleriez !
      Edition du 2 mai 1915 - 1915 : Vivent le peuple allemand, son armée incomparable et celui qui préside aux destinées de l'Allemagne ! Hoch, hurrah, hoch...! 
1916 : Indésirable.
      Edition du 16 mai 1915 - En enfer. -Bismarck : "Je savais bien que le diable l'emporterait un jour !"
      Edition du 23 mai 1915 - "Fous-moi le camp avec ta camelote !"  L'Italie déclare la guerre à l'Autriche-Hongrie.
      Edition du 30 mai 1915 - -Et que personne d'entre vous n'écrive à sa famille que nous crevons de faim ici et que toutes les nouvelles du front ne sont que mensonges et fumisteries, autrement je lui loge une balle dans la tête.
      Edition du 6 juin 1915 - Le pain KK -  Sur la plateforme d'un tramway de Mulhouse, un ouvrier s'oublie. Un officier boche présent se fâche et lui dit : "Vous n'êtes qu'un grossier personnage !"' -"Que voulez-vous", lui répond l'ouvrier, "je chante les louanges de ceux qui me donnent le pain que je mange !"
Le pain KK était un pain fabriqué avec des pommes de terre et du son.
      Edition du 13 juin 1915 - Soyez bon pour les animaux. -Le gouverneur allemand de la Belgique prend des mesures pour la protection des animaux.
      Edition du 20 juin 1915 - "Leur communiqué". -En Alsace nos vaillants soldats sont en train de nettoyer le pays de l"ennemi".
      Edition du 27 juin 1915 - Le bon vieux Dieu allemand : "En vérité, je vous le dis, il n'a même pas une pierre où reposer sa tête".
      Edition du 4 juillet 1915 - Les pères et les fils.
      Edition du 11 juillet 1915 - Mon régiment (allemand)- Caricature de Hansi.
      Edition du 18 juillet 1915 - Le soldat : "De nouveau 100 000 de pris". Le Dissi de Mulhouse : "Oui, des poux !"
      Edition du 25 juillet 1915 - Les amis de l'art. La prévoyance allemande pour les bibliothèques dans les pays ennemis occupés. - Notre gouvernement a envoyé en Belgique et dans les départements français du Nord des experts d'art qui ont pour mission de s'occuper des trésors artistiques en connaisseurs. Le directeur de la bibliothèque royale de Berlin, le conseiller intime Mikau, a été chargé par le ministère de visiter les bibliothèques dans les pays en question pour assurer leur mise en sécurité. D'après les journaux allemands.
      Edition du 1er août 1915 - -Je voudrais bien savoir ce que ces gens attendent de leurs prières...-Décidément, rien de bon pour nous.
      Edition du 8 août 1915 - La leçon d'histoire. - Nous aussi nous avons suivi cette route glorieuse et notre chef se nommait Napoléon.
      Edition du 15 août 1915 - La phobie du tricolore. -Vous êtes mon prisonnier. -Moi ? et pourquoi ? -Parce que vous montrez des couleurs différentes : vous faites bleu le lundi, vous portez une blouse blanche et vous buvez du vin rouge !
      Edition du 29 août 1915. - Il s'en fiche. -Guillaume : Beaucoup de victimes pour cette petite victoire, mon général. - Le général : Mais ce ne sont que des Alsaciens, mon général !
      Edition du 19 septembre 1915 - L'histoire des peuples. Germains de l'Age de Fer - Commencement du 20ème siècle.
      Edition du 26 septembre - Le Michel allemand toujours nigaud, toujours sacrifié.
      Edition du 3 octobre 1915 - Les porteurs de culture dans l'histoire ou : du chevalier brigand au roi de Prusse; des Huns aux Habsbourg; du turc au Sultan Rouge.
      Edition du 31 octobre 1915 - L'allemand partout où il va fait régner l'ordre d'abord et ensuite il se met à son aise. la première opération s'appelle "Civilisation"; la deuxième est déjà de la "Kultur".
      Edition du 7 novembre 1915 - Réponse inattendue. -Le Boche : Eh bien, la mère, qu'est ce qu'il y a d'intéressant dans votre bible ? -l'Alsacienne : ...et je l'accablerai par la peste et le sang, et je l'arroserai de grêlons formidables accompagnés de feu et et de soufre, lui, son armée et sa nation "kolossale".
      Edition du 14 novembre 1915 - Echo de Mulhouse : "Eh bien, les enfants, lesquels d'entre vous représentent les Allemands ?"-"Ceux qui foutent le camp !"
      Edition du 21 novembre 1915 - Demain. Le journal socialiste "Vorwaerts" propose la polygamie pour repeupler l'Allemagne après la guerre. Le "poilu" boche : "Eh ben zut, mieux vaudrait être dans les tranchées !".
      Edition du 28 novembre 1915 - L'héroïne de M. von Kakwitz- Croix de Fer enlevée glorieusement - de la compagnie seul à être resté debout, dégoûté, l'ennemi a fui.
      Edition du 5 décembre 1915 - -Il me semble que ces bougres recommencent à tirer. -Mais non, mon vieux, c'est la faim qui gronde dans mon ventre.
      Edition du 12 décembre 1915. - L'Allemagne victorieuse. -On ne peut donc me servir ni rôti, ni oeufs, ni volailles, ni entremets...et dire que nous sommes victorieux !
      Edition du 19 décembre 1915 - Le flot de sang monte. -La paix, SVP !
      Edition du 29 décembre 1915 - Leur petit Noäl
      Edition du 2 janvier 1916 - Voeux de bonne année : Bonheur et espoir.
      Edition du 9 janvier 1916 - La prière de l'Allemand - L'Allemagne veut la paix, la paix éternelle sur terre ! Protégez nos armes ! Vous nous avez exaucés, Seigneur ! (Julius Bergroff, La Guerre Sainte).
      Edition du 16 janvier 1916 - La dégringolade du Mark - Vers l'abime.
      Edition du 23 janvier 1916 - La mort prématurée. L'empereur Guillaume est gravement malade. "Il faut absolument vous décider, mon cher Kronprinz, à y mettre le prix dont votre auguste père est en train de s'acquitter".
      Edition du 30 janvier 1916 - -Pourquoi n'êtes-vous pas dans les tranchées, Herr Leutnant ?
-Sa Majesté désire me conserver pour continuer la noble race allemande !
      Edition du 6 février 1916 - Trop de lauriers. Madame Germania : "Guillaume, le régime des lauriers semble nepas me convenir, je deviens de plus en plus maigre !"
      Edition du 13 février 1916 - Dans l'autre monde - L'arrivée chez le Dieu allemand : "Nous voilà roulés !"
      Edition du 20 février 1916 - M. Bouffké - Vous avez certainement la conviction, maître Jacob, que nous aurons la victoire ? -Evidemment, je suis sûr que nous aurons la victoire !
      Edition du 27 février 1916 - Les faméliques. -C'est rudement fameux une cuisine roulante. -Oui mais à condition de qu'on ait de quoi y faire cuire.
      Edition du 5 mars 1916 - Kolossal !!!! -1er Mulhousien : "As-tu entendu que les Boches ont inventé un nouveau canon dépassant tout ce qu'on a vu à ce jour ?" 2ème Mulhousien : "Oui, le trou seul doit peser trois quintaux !"
      Edition du 19 mars 1916 - Il ne croyait pas si bien dire. -L'Alsacien : "Pardon, monsieur le sous-officier,  sauriez-vous m'indiquer le dépôt d'avoine ?" Le Boche : "Chez nous, il n'y a plus de dépôt, chez nous il n'y plus que des Niederlagen !" (signifie aussi bien dépôt que défaite).
      Editioon du 26 mars 1916 - L'allemand tel qu'on le parle. Des touristes arrivent dans un hôtel des Vosges. "Nous voudrions déjeuner". "La table d'hôte sera servie à l'instant". "Eh bien quoi ? table d'hôte ! Nous sommes ici en Allemagne et on y parle allemand ! d'ailleurs nous désirons être servis en chambre séparée !".
      Edition du 2 avril 1916 - La boucherie impériale. La pénurie de viande en Allemagne n'existe plus !
      Edition du 16 avril - Partie de plaisir. Le fils au père : "Ça ne va pas tout seul, évidemment, mais quelle vue splendide !
      Edition du 30 avril 1916 - Elle n'a pas tort ! La dame allemande : "C'est drôle, plus nous sommes vainqueurs, moins nous avons à manger !"
      Edition du 6 mai 1916 - La mère Germania au Kronprinz : "Tu es mon fils bien-aimé en qui j'ai mis mes complaisances".
      Edition du 14 mai 1916 - La disgrâce du feld-maréchal von Haeseler. Entrée triomphale du "vainqueur de Verdun à Berlin.
      Edition du 21 mai 1916 - Les Pharisiens. Le peuple allemand semble destiné à être le Christophoros, le porteur du Christ, qui doit porter à travers l'histoire mondiale la prédication du ressuscité. Pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font !
      Edition du 28 mai - Le dernier travestissement de Guillaume. L'empereur Guillaume a reçu en audience privée les chefs socialistes Evert et Scheidemann.
      Edition du 4 juin 1916 - Une rue à Berlin. L'économie des étoffes. Dans une réunion des représentants des différentes maisons textiles, il a été décidé que pour les vêtements de confection, il serait fixé un maximum d'étoffe à employer qui ne devrait pas être dépassé sous peine d'amende.
      Edition du 11 juin 1916 - La marraine des morts.
      Edition du 18 juin 1916 - Toupet. Le poilu alsacien (en allemand aux prisonniers) : "Attention, fixe ! espèce de sales Schwowe !" Un prisonnier boche : "Eh tiens, que c'est gentil, un compatriote !"
      Edition du 25 juin - Deux empereurs en détresse. Au secours !
      Edition du 2 juillet 1916 - En Alsace heureuse. Le boche : "N'êtes-vous pas fier d'être allemand et fier de nos victoires ?" L'Alsacien : "Mais certainement ! d'ailleurs on me foutrait en prison si je disais le contraire !"
      Edition du 9 juillet 1916 - Le repas des condamnés à mort. Bon appétit ! La ration journalière a été diminuée aux troupes allemandes. Les unités destinées aux grandes opérations ainsi que les troupes d'assaut reçoivent pendant les huit jours précédant l'action, ration entière et une nourriture choisie. (Les journaux)
      Edition du 16 juillet 1916 - Qui cherche trouve ! La dame allemande : "Que c'est bien d'avoir recueilli tant de noyaux de cerises. Mais d'où les avez-vous, les enfants ?" un gosse : "Derrière la palissade de l'usine Naegely, il y en a encore des tas !"
(D'après les journaux, on fait en Allemagne la récolte des noyaux de cerise pour en faire de l'huile).
      Edition du 23 juillet 1916 - Une victime de la guerre. -"Comment, monsieur le dentiste, c'est vous dans un état pareil ?" -Que voulez-vous, depuis que les gens n'ont plus rien à se mettre sous la dent, nous autres, dentistes, sommes dans la misère !"
      Edition du 30 juillet 1916 - Rira bien qui rira le dernier !
      Edition du 6 août 1916 - L'avalanche. Comment la ville de Mulhouse honorera son dernier bourgmestre qui est parti en guerre contre les dénominations françaises des rues de la ville.
      Edition du 13 août 1916 - L'avalanche. Comment la ville de Mulhouse honorera son dernier bourgmestre qui est parti en guerre contre les dénominations françaises des rues de la ville.
      Edition du 20 août 1916 - Le Généralissime Hindenburg passe en revue son armée.
      Edition du 27 août 1916 - Le rêve de Dissi.
      Edition du 3 septembre 1916 - L'impérial colis. - "Est à expédier par grande vitesse à Varsovie sur ordre du Grand Quartier".
      Edition du 10 septembre 1916 - Autre temps. Tout change. Le vétéran de 70: "Que diable avons-nous donc changé !" Le soldat : "Non, ce n'est pas nous qui avons changé, ce sont les autres !"
      Edition du 17 septembre 1916 - Au bord du Rhin. Si les deux font la même chose, ce n'est tout de même pas la même chose.
      Edition du 24 septembre 1916 - Dans le doute. Constantin : "Serai-je Léonidas ou Ephialte ?"
      Edition du 1er octobre 1916 - Jeunesse allemande. Echo de Mulhouse. Le petit Joseph : (voit un avion) : "C'est un des nôtres!" Le petit Jean : "Mais c'est un français !" Le petit Joseph : "Eh bien, ne t'ai-je pas dit que c'est un des nôtres ?"
      Edition du 15 octobre - Derrière les coulisse. Le vieux à son rejeton : "Ça va bien, ils ont oublié le vieux Dieu, ils avalent le Hindenburg !"
      Edition du 29 octobre 1916 - Le Roi sans peuple. Enfin seuls.
      Edition du 5 novembre 1916 - Battus mais contents. "Qu'importe si nous sommes obligés de quitter ce beau pays, nous partons plus chargés que nous ne sommes venus !"
      Edition du 12 novembre 1916 - Entre eux. 1er Boche : "Messieurs, n'oubliez pas que tout ce que nous avons, nous le devons à notre Empereur et Roi. Le 2ème Boche : "...et même ce que nous n'avons pas !"
      Edition du 19 novembre 1916 - Sur le seul du paradis. "Mes enfants, ce n'est pas le ciel allemand !"
      Edition du 26 novembre 1916 - Avant et après la guerre. "Vous autres en ville, cousin Jean, êtes plus heureux que nous, pauvres paysans du Sundgau". "Hélas, cousin alose, c'est que nous sommes restés plus longtemps allemands que vous !"
      Edition du 10 décembre 1916 - "Jean, pourquoi as-tu un regard si triste ?" "Mais non !" "Mais pourquoi fais-tu une si drôle de tête si tu n'as rien ?" "Imbécile, c'est justement parce que je n'ai rien !"
      Edition du 17 décembre 1916 - La triste fin de François Joseph. "Ohé ! un client de marque !"
      Edition du 24 décembre 1916 - Rêve de Noêl.
      Edition du 31 décembre 1916 - Bonne année !
      Edition du 7 janvier 1917 - L'ange de la paix.
      Edition du 14 janvier 1917 - La chanson de la paix. Succès inattendu.
      Edition du 21 janvier 1917. - Les folies germaniques. Grand théâtre boche. A l'extérieur et à l'intérieur.
      Edition du 28 janvier 1917. - Le chant du cygne. Nous avons tous eu vingt ans.
      Edition du 4 février 1917 - Le poids prophétique. "Tu as deux ronds, vieux ? je m'en vais voir si les Français vont bientôt arriver." "...." " "Eh bien quoi, c'est simple, à mesure que notre poids diminue, l'heure de leur arrivée approche !"
      Edition du 28 février 1917 - Le blocus. -Le patriote : "J'espère que nos ennemis vont avoir faim à leur tour". -Le pessimiste : "Ils auront faim et nous aurons la famine".
      Edition du 25 février 1917 - L'Allemagne et l'Amérique. Rupture des relations diplomatiques.
      Edition du 4 mars 1917. - En Alsace. -Le Poilu : "Quel beau pays, il y pousse de tout". -Le paysan : "Oui, même des fils de fer".
      Edition du 11 mars 1917 - La guerre sous l'eau et sur terre. Madame Germania : "un, deux...et trois !"
      Edition du 18 mars 1917 - Comme ils continueront à vivre dans la mémoire des hommes.
      Edition du 25 mars 1917 - L'Allemagne affamée. -Le tribunal reconnait l'accusé coupable d'avoir provoqué un scandale public par l'étalage d'une obésité incompatible avec des sentiments patriotiques.
      Edition du 8 avril 1917 - Joyeuses Pâques.
      Edition du 22 avril 1917 - Le verdict. L'accusé reconnu coupable de vol, pillage et assassinat est mis au ban de l'humanité.
      Edition du 29 avril 1917 - Le plus pressant. L'empereur à Hindenburg : "Maréchal, c'est à vous de sauver la Prusse !" Hindenburg : "Pour le moment, il importe de sauver l'Allemagne !"
      Edition du 6 mai 1917 - Tempête printanière.
      Edition du 13 mai 1917 - Pendant la retraite - Le peuple d'Allemagne est innocent. Le bon Michel Allemand "Vraiment, c'est dommage." Le sous-officier : "Ferme ça, de la sensibilité n'en faut pas." Le Michel : "Eh bien, c'est dommage de les laisser ici, ces beaux arbres !"
      Edition du 3 juin 1917 - Joies impériales.
      Edition du 17 juin 1917 - L'avenir. -Que faire, cher collègue, rester dans cette belle Alsace pour y vivre avec les Français ou retourner en Allemagne ?" -"Grave problème ! Evidemment, avec les Français on pourrait à la rigueur s'arranger s'il n'y avait pas les Alsaciens !"
      Edition du 15 juillet 1917 - En alsacien..D'r Schwob : "Que faites-vous ?" L'Alsacien : "Je plante des Hartepfel"; D'r Schwob : "Aah, pas, Hartepfel, on dit Kartoffeln !" L'Alsacien : "Si vous voulez être juste, on ne dit pas Hartepfle ou Kartoffeln, on dit tout simplement pommes de terre !"
      Edition du 5 août 1917 - La solution. Le reporter : "Etes-vous pour ou contre un plébiscite (sur l'Alsace) ? " L'Alsacien : "Il serait juste qu'on rende l'Alsace à la France pour la durée de 44 ans puis on pourrait songer au plébiscite".
      Edition du 12 août 1917 - Le premier et le dernier chancelier.
      Edition du 19 août 1917 - En Allemagne. La nouvelle mode nu-pieds en tube. En chapeau haut-de-forme, Cutaway et canne à la main, un monsieur se promenant pieds nus fit profonde impression sur les belles dames de Breslau. Avant la guerre, on aurait nommé cet accoutrement "dernier cri", aujourd'hui, on dit "devoir patriotique". (Extrait d'un journal allemand).
      Edition du 9 septembre 1917 - La générosité allemande. Guillaume : "Afin de vous témoigner ma bienveillance, je vous change, Madame...de cellule !"
      Edition du 7 octobre 1917 - Les véritables Alsaciens qui veulent rester allemands.
      Edition du 14 octobre 1917 - La patrie retrouvée. Le prisonnier alsacien.
      Edition du 4 novembre 1917 - L'Alsace tragique. La fête des Morts. Les deux étaient ses enfants.
      Edition du 11 novembre 1917 - Ne t'en fais pas, Guillaume, il nous reste les deux petites (Alsace et Lorraine) dont nous pourrons nous servir...
      Edition du 18 novembre 1917 - La Paix en fuite...et pour cause...
      Edition du 2 décembre 1917 - La paix, mais il faut y mettre le prix.
      Edition du 8 décembre 1917 - Le châtiment.
      Edition du 16 décembre 1917 - Le symbole.
      Edition du 24 décembre 1917 - L'Allemagne fête Noël.
      Edition du 31 décembre 1917 - La nouvelle année.

      Le Journal Kriegs-Berichte a été édité par les armées françaises qui ont libéré le sud de du Haut-Rhin dès la fin août 1914. Ce journal a été publié à la fois en langue française mais également en langue allemande pour les personnes qui ont subi l'occupation durant 44 années, de 1870 à 1914 et qui ne parlaient que l'allemand.

      Les dessins faisant la "Une" du journal Kriegs Berichte du 14 mars au 25 juillet 1915.
      Edition du 14 mars 1915 - Ils déménagent. "Üssa met dam mecsht !" (Dehors avec ce fumier !)
      Edition du 28 mars 1915 - L'Alsace française !
      Edition du 4 avril 1915 - L'impérial semeur.
      Edition du 13 avril 1915 - Anniversaire de Bismarck. -Piefke : "C'était un génie, que notre Bismarck !" -Bumske : "Oui, un génie, surtout parce qu'il eu le bon goût de vivre il y a 45 ans !"
      Edition du 18 avril 1915 - Panem et circenses ! In schweren Zeiten rief das Volk in alter Rom ! Panem et circenses - du pain et des jeux ! (En ces temps-là, c'est ce que le peuple criait à Rome : du pain et des jeux ! ) Aujourd'hui, le peuple allemand crie "Du pain et de la bière !"
      Edition du 25 avril 1915 - Toujours prudent - Que pensez-vous de nos succès, mon ami ? - Si je vous le disais, vous me fusilleriez !
      Edition du 2 mai 1915 - 1915 : Vivent le peuple allemand, son armée incomparable et celui qui préside aux destinées de l'Allemagne ! Hoch, hurrah, hoch...! 
1916 : Indésirable.
      Edition du 16 mai 1915 - En enfer. -Bismarck : "Je savais bien que le diable l'emporterait un jour !"
      Edition du 23 mai 1915 - "Fous-moi le camp avec ta camelote !"  L'Italie déclare la guerre à l'Autriche-Hongrie.
      Edition du 30 mai 1915 - -Et que personne d'entre vous n'écrive à sa famille que nous crevons de faim ici et que toutes les nouvelles du front ne sont que mensonges et fumisteries, autrement je lui loge une balle dans la tête.
      Edition du 6 juin 1915 - Le pain KK -  Sur la plateforme d'un tramway de Mulhouse, un ouvrier s'oublie. Un officier boche présent se fâche et lui dit : "Vous n'êtes qu'un grossier personnage !"' -"Que voulez-vous", lui répond l'ouvrier, "je chante les louanges de ceux qui me donnent le pain que je mange !"
Le pain KK était un pain fabriqué avec des pommes de terre et du son.
      Edition du 13 juin 1915 - Soyez bon pour les animaux. -Le gouverneur allemand de la Belgique prend des mesures pour la protection des animaux.
      Edition du 20 juin 1915 - "Leur communiqué". -En Alsace nos vaillants soldats sont en train de nettoyer le pays de l"ennemi".
      Edition du 27 juin 1915 - Le bon vieux Dieu allemand : "En vérité, je vous le dis, il n'a même pas une pierre où reposer sa tête".
      Edition du 4 juillet 1915 - Les pères et les fils.
      Edition du 11 juillet 1915 - Mon régiment (allemand)- Caricature de Hansi.
      Edition du 18 juillet 1915 - Le soldat : "De nouveau 100 000 de pris". Le Dissi de Mulhouse : "Oui, des poux !"
      Edition du 25 juillet 1915 - Les amis de l'art. La prévoyance allemande pour les bibliothèques dans les pays ennemis occupés. - Notre gouvernement a envoyé en Belgique et dans les départements français du Nord des experts d'art qui ont pour mission de s'occuper des trésors artistiques en connaisseurs. Le directeur de la bibliothèque royale de Berlin, le conseiller intime Mikau, a été chargé par le ministère de visiter les bibliothèques dans les pays en question pour assurer leur mise en sécurité. D'après les journaux allemands.

      Edition du 1er août 1915 - -Je voudrais bien savoir ce que ces gens attendent de leurs prières...-Décidément, rien de bon pour nous.
      Edition du 8 août 1915 - La leçon d'histoire. - Nous aussi nous avons suivi cette route glorieuse et notre chef se nommait Napoléon.
      Edition du 15 août 1915 - La phobie du tricolore. -Vous êtes mon prisonnier. -Moi ? et pourquoi ? -Parce que vous montrez des couleurs différentes : vous faites bleu le lundi, vous portez une blouse blanche et vous buvez du vin rouge !
      Edition du 29 août 1915. - Il s'en fiche. -Guillaume : Beaucoup de victimes pour cette petite victoire, mon général. - Le général : Mais ce ne sont que des Alsaciens, mon général !
      Edition du 19 septembre 1915 - L'histoire des peuples. Germains de l'Age de Fer - Commencement du 20ème siècle.
      Edition du 26 septembre - Le Michel allemand toujours nigaud, toujours sacrifié.
      Edition du 3 octobre 1915 - Les porteurs de culture dans l'histoire ou : du chevalier brigand au roi de Prusse; des Huns aux Habsbourg; du turc au Sultan Rouge.
      Edition du 31 octobre 1915 - L'allemand partout où il va fait régner l'ordre d'abord et ensuite il se met à son aise. la première opération s'appelle "Civilisation"; la deuxième est déjà de la "Kultur".
      Edition du 7 novembre 1915 - Réponse inattendue. -Le Boche : Eh bien, la mère, qu'est ce qu'il y a d'intéressant dans votre bible ? -l'Alsacienne : ...et je l'accablerai par la peste et le sang, et je l'arroserai de grêlons formidables accompagnés de feu et et de soufre, lui, son armée et sa nation "kolossale".
      Edition du 14 novembre 1915 - Echo de Mulhouse : "Eh bien, les enfants, lesquels d'entre vous représentent les Allemands ?"-"Ceux qui foutent le camp !"
      Edition du 21 novembre 1915 - Demain. Le journal socialiste "Vorwaerts" propose la polygamie pour repeupler l'Allemagne après la guerre. Le "poilu" boche : "Eh ben zut, mieux vaudrait être dans les tranchées !".
      Edition du 28 novembre 1915 - L'héroïne de M. von Kakwitz- Croix de Fer enlevée glorieusement - de la compagnie seul à être resté debout, dégoûté, l'ennemi a fui.
      Edition du 5 décembre 1915 - -Il me semble que ces bougres recommencent à tirer. -Mais non, mon vieux, c'est la faim qui gronde dans mon ventre.
      Edition du 12 décembre 1915. - L'Allemagne victorieuse. -On ne peut donc me servir ni rôti, ni oeufs, ni volailles, ni entremets...et dire que nous sommes victorieux !
      Edition du 19 décembre 1915 - Le flot de sang monte. -La paix, SVP !
      Edition du 29 décembre 1915 - Leur petit Noäl

      Edition du 2 janvier 1916 - Voeux de bonne année : Bonheur et espoir.
      Edition du 9 janvier 1916 - La prière de l'Allemand - L'Allemagne veut la paix, la paix éternelle sur terre ! Protégez nos armes ! Vous nous avez exaucés, Seigneur ! (Julius Bergroff, La Guerre Sainte).
      Edition du 16 janvier 1916 - La dégringolade du Mark - Vers l'abime.
      Edition du 23 janvier 1916 - La mort prématurée. L'empereur Guillaume est gravement malade. "Il faut absolument vous décider, mon cher Kronprinz, à y mettre le prix dont votre auguste père est en train de s'acquitter".
      Edition du 30 janvier 1916 - -Pourquoi n'êtes-vous pas dans les tranchées, Herr Leutnant ?
-Sa Majesté désire me conserver pour continuer la noble race allemande !
      Edition du 6 février 1916 - Trop de lauriers. Madame Germania : "Guillaume, le régime des lauriers semble nepas me convenir, je deviens de plus en plus maigre !"
      Edition du 13 février 1916 - Dans l'autre monde - L'arrivée chez le Dieu allemand : "Nous voilà roulés !"
      Edition du 20 février 1916 - M. Bouffké - Vous avez certainement la conviction, maître Jacob, que nous aurons la victoire ? -Evidemment, je suis sûr que nous aurons la victoire !
      Edition du 27 février 1916 - Les faméliques. -C'est rudement fameux une cuisine roulante. -Oui mais à condition de qu'on ait de quoi y faire cuire.
      Edition du 5 mars 1916 - Kolossal !!!! -1er Mulhousien : "As-tu entendu que les Boches ont inventé un nouveau canon dépassant tout ce qu'on a vu à ce jour ?" 2ème Mulhousien : "Oui, le trou seul doit peser trois quintaux !"
      Edition du 19 mars 1916 - Il ne croyait pas si bien dire. -L'Alsacien : "Pardon, monsieur le sous-officier,  sauriez-vous m'indiquer le dépôt d'avoine ?" Le Boche : "Chez nous, il n'y a plus de dépôt, chez nous il n'y plus que des Niederlagen !" (signifie aussi bien dépôt que défaite).
      Editioon du 26 mars 1916 - L'allemand tel qu'on le parle. Des touristes arrivent dans un hôtel des Vosges. "Nous voudrions déjeuner". "La table d'hôte sera servie à l'instant". "Eh bien quoi ? table d'hôte ! Nous sommes ici en Allemagne et on y parle allemand ! d'ailleurs nous désirons être servis en chambre séparée !".
      Edition du 2 avril 1916 - La boucherie impériale. La pénurie de viande en Allemagne n'existe plus !
      Edition du 16 avril - Partie de plaisir. Le fils au père : "Ça ne va pas tout seul, évidemment, mais quelle vue splendide !
      Edition du 30 avril 1916 - Elle n'a pas tort ! La dame allemande : "C'est drôle, plus nous sommes vainqueurs, moins nous avons à manger !"
      Edition du 6 mai 1916 - La mère Germania au Kronprinz : "Tu es mon fils bien-aimé en qui j'ai mis mes complaisances".
      Edition du 14 mai 1916 - La disgrâce du feld-maréchal von Haeseler. Entrée triomphale du "vainqueur de Verdun à Berlin.
      Edition du 21 mai 1916 - Les Pharisiens. Le peuple allemand semble destiné à être le Christophoros, le porteur du Christ, qui doit porter à travers l'histoire mondiale la prédication du ressuscité. Pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font !
      Edition du 28 mai - Le dernier travestissement de Guillaume. L'empereur Guillaume a reçu en audience privée les chefs socialistes Evert et Scheidemann.
      Edition du 4 juin 1916 - Une rue à Berlin. L'économie des étoffes. Dans une réunion des représentants des différentes maisons textiles, il a été décidé que pour les vêtements de confection, il serait fixé un maximum d'étoffe à employer qui ne devrait pas être dépassé sous peine d'amende.
      Edition du 11 juin 1916 - La marraine des morts.
      Edition du 18 juin 1916 - Toupet. Le poilu alsacien (en allemand aux prisonniers) : "Attention, fixe ! espèce de sales Schwowe !" Un prisonnier boche : "Eh tiens, que c'est gentil, un compatriote !"
      Edition du 25 juin - Deux empereurs en détresse. Au secours !
      Edition du 2 juillet 1916 - En Alsace heureuse. Le boche : "N'êtes-vous pas fier d'être allemand et fier de nos victoires ?" L'Alsacien : "Mais certainement ! d'ailleurs on me foutrait en prison si je disais le contraire !"
      Edition du 9 juillet 1916 - Le repas des condamnés à mort. Bon appétit ! La ration journalière a été diminuée aux troupes allemandes. Les unités destinées aux grandes opérations ainsi que les troupes d'assaut reçoivent pendant les huit jours précédant l'action, ration entière et une nourriture choisie. (Les journaux)
      Edition du 16 juillet 1916 - Qui cherche trouve ! La dame allemande : "Que c'est bien d'avoir recueilli tant de noyaux de cerises. Mais d'où les avez-vous, les enfants ?" un gosse : "Derrière la palissade de l'usine Naegely, il y en a encore des tas !"
(D'après les journaux, on fait en Allemagne la récolte des noyaux de cerise pour en faire de l'huile).
      Edition du 23 juillet 1916 - Une victime de la guerre. -"Comment, monsieur le dentiste, c'est vous dans un état pareil ?" -Que voulez-vous, depuis que les gens n'ont plus rien à se mettre sous la dent, nous autres, dentistes, sommes dans la misère !"
      Edition du 30 juillet 1916 - Rira bien qui rira le dernier !

      Edition du 6 août 1916 - L'avalanche. Comment la ville de Mulhouse honorera son dernier bourgmestre qui est parti en guerre contre les dénominations françaises des rues de la ville.
      Edition du 13 août 1916 - L'avalanche. Comment la ville de Mulhouse honorera son dernier bourgmestre qui est parti en guerre contre les dénominations françaises des rues de la ville.
      Edition du 20 août 1916 - Le Généralissime Hindenburg passe en revue son armée.
      Edition du 27 août 1916 - Le rêve de Dissi.
      Edition du 3 septembre 1916 - L'impérial colis. - "Est à expédier par grande vitesse à Varsovie sur ordre du Grand Quartier".
      Edition du 10 septembre 1916 - Autre temps. Tout change. Le vétéran de 70: "Que diable avons-nous donc changé !" Le soldat : "Non, ce n'est pas nous qui avons changé, ce sont les autres !"
      Edition du 17 septembre 1916 - Au bord du Rhin. Si les deux font la même chose, ce n'est tout de même pas la même chose.
      Edition du 24 septembre 1916 - Dans le doute. Constantin : "Serai-je Léonidas ou Ephialte ?"
      Edition du 1er octobre 1916 - Jeunesse allemande. Echo de Mulhouse. Le petit Joseph : (voit un avion) : "C'est un des nôtres!" Le petit Jean : "Mais c'est un français !" Le petit Joseph : "Eh bien, ne t'ai-je pas dit que c'est un des nôtres ?"
      Edition du 15 octobre - Derrière les coulisse. Le vieux à son rejeton : "Ça va bien, ils ont oublié le vieux Dieu, ils avalent le Hindenburg !"
      Edition du 29 octobre 1916 - Le Roi sans peuple. Enfin seuls.
      Edition du 5 novembre 1916 - Battus mais contents. "Qu'importe si nous sommes obligés de quitter ce beau pays, nous partons plus chargés que nous ne sommes venus !"
      Edition du 12 novembre 1916 - Entre eux. 1er Boche : "Messieurs, n'oubliez pas que tout ce que nous avons, nous le devons à notre Empereur et Roi. Le 2ème Boche : "...et même ce que nous n'avons pas !"
      Edition du 19 novembre 1916 - Sur le seul du paradis. "Mes enfants, ce n'est pas le ciel allemand !"
      Edition du 26 novembre 1916 - Avant et après la guerre. "Vous autres en ville, cousin Jean, êtes plus heureux que nous, pauvres paysans du Sundgau". "Hélas, cousin alose, c'est que nous sommes restés plus longtemps allemands que vous !"
      Edition du 10 décembre 1916 - "Jean, pourquoi as-tu un regard si triste ?" "Mais non !" "Mais pourquoi fais-tu une si drôle de tête si tu n'as rien ?" "Imbécile, c'est justement parce que je n'ai rien !"
      Edition du 17 décembre 1916 - La triste fin de François Joseph. "Ohé ! un client de marque !"
      Edition du 24 décembre 1916 - Rêve de Noêl.
      Edition du 31 décembre 1916 - Bonne année !

      Edition du 7 janvier 1917 - L'ange de la paix.
      Edition du 14 janvier 1917 - La chanson de la paix. Succès inattendu.
      Edition du 21 janvier 1917. - Les folies germaniques. Grand théâtre boche. A l'extérieur et à l'intérieur.
      Edition du 28 janvier 1917. - Le chant du cygne. Nous avons tous eu vingt ans.
      Edition du 4 février 1917 - Le poids prophétique. "Tu as deux ronds, vieux ? je m'en vais voir si les Français vont bientôt arriver." "...." " "Eh bien quoi, c'est simple, à mesure que notre poids diminue, l'heure de leur arrivée approche !"
      Edition du 28 février 1917 - Le blocus. -Le patriote : "J'espère que nos ennemis vont avoir faim à leur tour". -Le pessimiste : "Ils auront faim et nous aurons la famine".
      Edition du 25 février 1917 - L'Allemagne et l'Amérique. Rupture des relations diplomatiques.
      Edition du 4 mars 1917. - En Alsace. -Le Poilu : "Quel beau pays, il y pousse de tout". -Le paysan : "Oui, même des fils de fer".
      Edition du 11 mars 1917 - La guerre sous l'eau et sur terre. Madame Germania : "un, deux...et trois !"
      Edition du 18 mars 1917 - Comme ils continueront à vivre dans la mémoire des hommes.
      Edition du 25 mars 1917 - L'Allemagne affamée. -Le tribunal reconnait l'accusé coupable d'avoir provoqué un scandale public par l'étalage d'une obésité incompatible avec des sentiments patriotiques.
      Edition du 8 avril 1917 - Joyeuses Pâques.
      Edition du 22 avril 1917 - Le verdict. L'accusé reconnu coupable de vol, pillage et assassinat est mis au ban de l'humanité.
      Edition du 29 avril 1917 - Le plus pressant. L'empereur à Hindenburg : "Maréchal, c'est à vous de sauver la Prusse !" Hindenburg : "Pour le moment, il importe de sauver l'Allemagne !"
      Edition du 6 mai 1917 - Tempête printanière.
      Edition du 13 mai 1917 - Pendant la retraite - Le peuple d'Allemagne est innocent. Le bon Michel Allemand "Vraiment, c'est dommage." Le sous-officier : "Ferme ça, de la sensibilité n'en faut pas." Le Michel : "Eh bien, c'est dommage de les laisser ici, ces beaux arbres !"
      Edition du 3 juin 1917 - Joies impériales.
      Edition du 17 juin 1917 - L'avenir. -Que faire, cher collègue, rester dans cette belle Alsace pour y vivre avec les Français ou retourner en Allemagne ?" -"Grave problème ! Evidemment, avec les Français on pourrait à la rigueur s'arranger s'il n'y avait pas les Alsaciens !"
      Edition du 15 juillet 1917 - En alsacien..D'r Schwob : "Que faites-vous ?" L'Alsacien : "Je plante des Hartepfel"; D'r Schwob : "Aah, pas, Hartepfel, on dit Kartoffeln !" L'Alsacien : "Si vous voulez être juste, on ne dit pas Hartepfle ou Kartoffeln, on dit tout simplement pommes de terre !"
      Edition du 5 août 1917 - La solution. Le reporter : "Etes-vous pour ou contre un plébiscite (sur l'Alsace) ? " L'Alsacien : "Il serait juste qu'on rende l'Alsace à la France pour la durée de 44 ans puis on pourrait songer au plébiscite".
      Edition du 12 août 1917 - Le premier et le dernier chancelier.
      Edition du 19 août 1917 - En Allemagne. La nouvelle mode nu-pieds en tube. En chapeau haut-de-forme, Cutaway et canne à la main, un monsieur se promenant pieds nus fit profonde impression sur les belles dames de Breslau. Avant la guerre, on aurait nommé cet accoutrement "dernier cri", aujourd'hui, on dit "devoir patriotique". (Extrait d'un journal allemand).
      Edition du 9 septembre 1917 - La générosité allemande. Guillaume : "Afin de vous témoigner ma bienveillance, je vous change, Madame...de cellule !"
      Edition du 7 octobre 1917 - Les véritables Alsaciens qui veulent rester allemands.
      Edition du 14 octobre 1917 - La patrie retrouvée. Le prisonnier alsacien.
      Edition du 4 novembre 1917 - L'Alsace tragique. La fête des Morts. Les deux étaient ses enfants.
      Edition du 11 novembre 1917 - Ne t'en fais pas, Guillaume, il nous reste les deux petites (Alsace et Lorraine) dont nous pourrons nous servir...
      Edition du 18 novembre 1917 - La Paix en fuite...et pour cause...
      Edition du 2 décembre 1917 - La paix, mais il faut y mettre le prix.
      Edition du 8 décembre 1917 - Le châtiment.
      Edition du 16 décembre 1917 - Le symbole.
      Edition du 24 décembre 1917 - L'Allemagne fête Noël.
      Edition du 31 décembre 1917 - La nouvelle année.

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